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PRESSE
à propos du Parcours -40, commissaire de l'événement, Mons, 2013 à propos de l'installation "Terre Mère", Grotte de Floreffe, 2012 à propos de l'expo "Tout est possible", Galerie 360°, Braine l'Alleud, 2011 à propos de l'expo "EXP' ART de Falaën", Falaën, 2011 Exp’art est une manifestation culturelle organisée par la confrérie Li Crochon (à qui l’on doit la première marche gourmande de Belgique) en partenariat avec l’association Falaën mon beau village et 16 artistes professionnels. Fondée en 1982, la confrérie a pour objectif la promotion du tourisme gastronomique, le développement du folklore et de l’économie dans la région d’Onhaye. "Nous avons voulu aller encore plus loin, faire évoluer notre approche et nous avons répondu à un appel à projets dans le cadre des fonds européens du programme wallon de développement rural. L’objectif de l’exposition est d’attirer des gens dans le village", explique le chancelier de la confrérie Li Crochon Gérard Cox. L’exposition a intégré les rues du village depuis le 1er juillet. Philippe Bouillon, licencié en arts plastiques et professeur de pratique de la couleur à l’école supérieure des arts plastiques et visuels de Mons, est le commissaire de celle-ci. "Nous avons accordé une importance particulière au choix des lieux où des œuvres sont exposées; celles-ci sont en rapport avec l’histoire de l’endroit, son architecture. Les artistes ont donné leur vision de l’art contemporain tout en rendant celui-ci accessible à tous." Il paraît que Falaën est un des plus beaux villages de Wallonie. Dans le cadre de sa valorisation touristique, la confrérie « Li Crochon » – du nom d’une bière artisanale à haute fermentation et d’un petit pain évidé rempli d’une farce faite de fromage Maredret, de crème et de jambon coupé en dés, le tout passé au four – a choisi d’y organiser un événement artistique « intelligent, original et familial ». C’est ainsi que le Montois Philippe Bouillon a entraîné une quinzaine d’artistes dans le village condrusien de la Province de Namur pour concevoir « Exp’Art », une exposition librement visible jusqu’au 11 septembre, pour porter l’art contemporain loin des galeries conventionnelles et surprendre le public dans des lieux inhabituels. à propos de l'expo "Tout est possible", Espace Blanche Art Gallery, Bruxelles, 2011 Les toiles de Philippe Bouillon installent une longue ligne d’horizon, ligne de partage entre ténèbres terrestres et célestes, dans ces instants crépusculaires et magiques où une profonde lumière bleue les imprègne et les trame. Ligne de partage et tout autant de rencontres, de mélange, le haut glisse dans le bas, le bas s’évapore vers le haut. Ligne de passage, on passe forcément de l’autre côté. Jeu de miroir entre le gouffre cosmique et l’abysse terrestre qui, autour du trait le plus minimal – une ligne abstraite, l’idée d’une ligne puisque la ligne d’horizon n’existe pas -, donne cette impression d’infini bleuté et d’indéterminé. Cette ligne imaginaire apparaît dans sa nudité complète car tout ce qui, d’ordinaire, en empêche la vision et la réception, a été retiré, écarté, effacé. Tout ce que l’homme invente pour se convaincre d’habiter l’espace et réduire la distance entre lui et l’horizon a été escamoté. Retour au vide et au vivant conçu comme une page blanche, vierge. C’est le levant ou le couchant, le levant et le couchant à la fois, ces instants où, en général, le soleil est rouge sang et se laisse presque regarder. Cette couleur de soleil rouge sang, rouge coeur est bien là, irradiant une forme qui n’est pas celle de l’astre mais celle de maisons. Ce n’est pas une substitution pure et simple, c’est du soleil rouge cœur en forme de maisons. Des idées de maison, elles me font penser aux pièces en bois des anciens Monopoly (Michel Voiturier a la même idée dans son texte d’introduction à l’exposition) qui se seraient affranchies des jeux qui lient « maison » à « terrain » et « argent » pour coloniser l’invisible, l’impalpable. Elles sont plantées ou elles lévitent là où on ne s’attend pas à voir rayonner une maison et pourtant, impossible de les déplacer, de les imaginer ailleurs. Elles poussent où elles veulent, sans rien figer, les fondations sont avant tout mentales, spirituelles et faites de désirs, en mouvement. Ce sont des maisons couchantes ou levantes, comme le soleil. On peut leur attribuer la faculté de franchir la ligne d’horizon, disparaître et revenir, en cycle. Ce n’est pas de la brique. Elles s’allument ou s’éteignent selon l’ouverture des possibles. Elles ne sont ni ternes ni passives, elles travaillent comme le cœur à pomper et propulser le sang virtuel des rêves, sans limites, pour continuer à imaginer trente-six mille manières d’habiter l’univers. Elles pulsent le désir d’habiter ailleurs, autrement, de repenser l’hospitalité humaine dans le vivant, en finir avec les logiques de possession et d’exclusion, de territoires, de prix au mètre carré. Ce sont des maisons sans territoire. Apprendre à dessiner une maison est un apprentissage incontournable, un passage obligé dans la formation de nos personnalités. Ça ne veut pas dire pour autant que cela nous prédestine tous à devenir propriétaire : dessiner une maison c’est réfléchir à ce qui nous structure, notre architecture parmi celle des autres. Le rouge intense et lumineux des maisons de Philippe Bouillon est aussi très « indien », il est celui du « pigment rouge que les hindous déposent sur le front en guise de troisième œil, l’œil intérieur, celui de la connaissance de soi et de la sagesse. » (Caroline Naphegyi, Art Press). Dessiner sa maison comme exercice de connaissance de soi, ce sont des maisons qui regardent en nous. C’est une idée toute simple qui prend de la force d’être ainsi déclinée en série. Les peintures acryliques de Philippe Bouillon sont denses et légères, essentiellement vibrantes et illuminées. De ces vibrations et harmoniques entre ténèbres et « rouge maison » utopiste, même s’il y a inversion quant à la couleur de l’atmosphère et celle de la construction projetée dans le rêve intemporel d’habiter quelque part au mépris des lois de propriétés, c’est la musique d’une chanson précise qui se met à chantonner en moi chaque fois que je repense aux toiles de Philippe Bouillon : « C’est une maison bleue accrochée à la colline… », pas exactement la chanson de Maxime Le Forestier dans ses contours exacts, scie d’une époque particulière, mais tout ce qu’elle évoque et met en musique par répercussion, concordance, un halo, une idée musicale qui élargit ses cercles mélodiques jusqu’au sans fin... à propos de l'expo ART9, Mons en 2008 à propos de l'exposition "En visage" à la Maison Folie, Mons, 2007 à propos de l'exposition dans le cellier du parc de Peruwelz, 2000 Le foyer culturel de Péruwelz organise, du 11 au 26 septembre, une exposition des dessins de l'artiste montois Philippe Bouillon. L'artiste entraînera le visiteur dans son monde imaginaire où se côtoient hommes et animaux: des êtres colorés qu'on croirait tantôt sortis d'un conte féérique, tantôt d'une gravure rupestre. C'est en tout cas un univers pictural qui invite à l'émerveillement, à l'étrange, à l'humour et, par une sorte de naïveté, plonge le spectateur dans l'enfance. L'exposition se tiendra au Cellier (parc Simon). à propos de l'exposition "Early paintings" Galerie Racines et l'Oeil invite X+, Bruxelles, 2000 «Philippe Bouillon nous invite à un voyage dans un univers où homme et animaux se mêlent en une sorte de bestiaire poétique qui semble illustrer des contes venus de l'aube des temps. On décèle chez l'artiste un plaisir avoué de créer des formes et des reliefs déroutants, très proches des peintures rupestres. Souvent, son oeuvre est soupoudrée d'humour pour adoucir le message qu'il doit nous livrer: la destruction de l'humanité. à propos de l'exposition "Une promenade de printemps" à Mons, 1996 à propos de l'exposition à la galerie Espace Albertine, Bruxelles, 1996 «..Philippe Bouillon vient juste de remporter le Prix de la jeune peinture belge. Il est aussi écrivain et entend rendre à la peinture sa dimension narrative que le XXème siècle a trop souvent oublié. Il oeuvre sur des toiles de jute à l'allure grossière, mais un "ponçage" donne à ses compositions lustre et mystère. Chacune raconte une histoire courte et incongrue dont les secrets demeurent voilés. Du 12 juin au 6 septembre, il participe à une exposition d'ensemble au Grand-Hornu: "Train et création", avec une toile monumentale et circulaire qui sera placée à même le sol, pour faire apparaître une nouvelle dimension de l'oeuvre d'art. à propos du Prix de la jeune peinture belge au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, 1994 «Un (Philippe) Bouillon de peinture à Mons. Tous les deux ans depuis 1950, le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles accueille le prix de la jeune peinture belge. Ce concours, actuellement réservé aux artistes de moins de trente-cinq ans, belges ou résidant en Belgique depuis un an au moins, s'attache à encourager la création artistique contemporaine. Ouvert à toutes formes d'expression plastique, il offre aux artistes sélectionnés la possibilité de se faire connaître par-delà les frontières. Sans amplifier exagérément l'importance de cette distinction, il est intéressant d'apprendre que des artistes de renom comme Pierre Alechinski (1950), Gustave Camus (1951), Pol Bury (1951 et 1952), Camille De Taeye (1968) ou Jean-Marc Navez (1973 et 1975) l'ont reçue. Cette année, la Jeune Peinture belge a marqué son intérêt pour trois artistes parmi quinze candidatures présélectionnées sur base de 300 dossiers. Il s'agissait, pour les candidats au titre, de présenter leurs oeuvres en les intégrant dans un espace d'exposition défini. Le jury a ainsi récompensé l'oeuvre de Philippe Bouillon, un peintre montois, écrivain et musicien à ses heures, en lui décernant, voici quelques semaines, la prix Crowet, du nom de l'un des fondateurs et président de l'association de 1961 à 1984. Le jeune lauréat est originaire de Frameries. Il est âgé de 28 ans. Ses premières armes - des pinceaux en l'occurrence -, il les a faites sur les bancs - des toiles en l'occurrence - de l'atélier d'art monumental de l'École supérieure des arts plastiques et visuels de Mons. Philippe Bouillon n'a pas attendu d'être diplômé (en 1992) pour exposer ses toiles visibles parmi celles d'autres artistes à la salle Saint-Georges à Mons, à la Venerie à Bruxelles et au palais des Beaux-Arts de Charleroi notamment. Plus récemment, il participait encore à une exposition collective à la galerie Théorème à Bruxelles. La démarche de l'artiste? Travailler au coeur de l'environnement, s'adapter aux lieux, manier la technique, jouer avec les formes, faire éclater la couleur en donnant l'impression de ne rien prendre vraiment au sérieux. A travers une peinture tellement figurative qu'elle en devient merveilleusement naïve, Philippe Bouillon raconte des histoires de hordes d'humains et d'animaux (éléphants à roulettes, lézards géants, pingouins immortels...) qui se font la guerre pour mieux vivre en paix. M.-H. P. «...De nombreux lauréats n'ont cessé d'être remarqués pour leurs dons comme Alechinsky, Camus, Dudant, Navez, De Taye, Bury ou Strebelle. Pour ce jeune crétaeur à l'allure gavroche, peindre c'est sublimer, jongler avec le rire et la tristesse comme un clown. Travaillant une toile de jute brut et utilisant le jus d'acrylique, ses tableaux sont comme des aquarelles monumentales, conjuguant le côté vif, la spontanéité de l'expression de cette dernière avec le temps et la recherche de l'atelier. Philippe Bouillon construit un univers où les animaux ont désertés la terre, là où les hommes s'abîment et les voilà doués de parole, tentant de créer un monde, si ce n'est parfait, du moins dominé par la poésie, baguette magique et enchanteresse qui transforme tout ce qu'elle touche. Ces anthropomorphes en quête de bonheur y font éclater quelques couleurs d'ironies. On pense à Prévert même si ici ce sont les animaux qui gagnent. C'est l'enfant qu'il a en lui que Philippe Bouillon veut faire parler, c'est cette part avec rêves étoilés d'illusions, ses sourires doués d'amour et émerveillés, cette part qui donne présent à l'avenir, qui croit en la magie de l'être. L'imagination est l'horizon et le monde doux et fort comme étreinte. Encouragé par ce prix, Philippe Bouillon entend nous faire voir ce que les animaux ont abandonnés sur terre, histoire de dire des choses fragiles comme l'amour, histoire de montrer que le pouvoir du créateur prend des chemins tendre et clairvoyants. Tout en continuant à faire de la musique, il prépare pour janvier une exposition pour le Centre d'Art Contemporain de Bruxelles. Un univers à découvrir et à suivre. «Philippe Bouillon, prix E.Crowez affectionne les tons délavés pour animer son grand cirque universel où les animaux mènent la danse et il revendique une naïveté affûtée pour prédire quelque apocalypse salvatrice... «Pierre Alechinsky, Gustave Camus, Pol Bury...Ces noms éveillent quelque chose chez les plus profanes. Et pour cause puisqu'ils figurent aujourd'hui parmi les plus grands noms de la peinture belge et internationale. Pourtant ils ont été jeunes et inconnus jusqu'à ce qu'un prix leur mette le pied à l'étrier de la gloire. C'est précisément ce qui vient d'arriver à notre Philippe Bouillon qui vient de décrocher le "prix de la jeune peinture belge", dans la foulée de nos plus grands artistes. Philippe Bouillon a grandi à la rue de Bois-Bourdon; où ses parents sont toujours domiciliés. Jusqu'en 6ème primaire, il se formera à l'école framerisoise avant de poursuivre ses études à Mons. Une candi en psychologie à l'Université de l'état à Mons faisant germer pas mal d'idées dans le crâne de Philippe. Aujourd'hui encore, il en poursuit la récolte. Mais c'est à l'école supérieure des arts plastiques et visuels de Mons que notre framerisois trouvera sa voie. Philippe choisit l'art monumental, une formation technique très large qui fait appel à la peinture, la sculpture, les médias...A ce moment déjà, Philippe possède une vision très personnelle de la façon dont un artiste doit travailler. "J'ai toujours eu le soucis de l'intégration dans les lieux et dans l'environnement en général". Coup de maître. A 28 ans, les artistes restent souvent loin des sommets de la gloire. Mais Philippe vient de gravir une fameuse marche. Il y a quelques mois, il présentait sa candidature au Prix de le la jeune peinture belge destiné aux moins de 35 ans. Un coup d'épée dans une mer rassemblant trois cents candidatures? Le plus dur restait à faire: convaincre le jury final en présentant son travail. "J'avais un emplacement pour mon oeuvre dans le hall d'entrée du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles". Coup de maître! Philippe Bouillon a obtenu le Prix de la jeune peinture belge. Aujourd'hui, son nom est sur la première ligne d'un palmarès qui rassemble quelques-uns des plus grands noms de la peinture belge. C'est le moment de confirmer. Créer pour tous et dehors des salons...Bien plus qu'un peintre, Philippe est aussi guitariste et chanteur. En compagnie d'un ami, il prépare un projet de "musique dance" évitant l'amidon des choses trop sérieuses. Ecrivain à d'autres heures, il a publié "Ras les épuisettes", un petit livre au tirage confidentiel destiné à être apprécié par ses textes comme pour sa beauté. Sa peinture est gouvernée par l'humour et l'environnement. L'oeuvre qui a conquis le Prix de la jeune peinture belge s'amuse d'un conflit qui mettrait aux prises les animaux et les humains. Philippe exprime l'idée qu'un petit d'homme cesse d'évoluer la première fois qu'il se regarde dans un miroir. De leur côté, les animaux continuent à évoluer. Ils partent ensuite sur une autre planète où ils font ce que nous faisons sur terre. Pour Philippe la peinture est plus qu'une création entourée d'un cadre. Elle doit sortir des salons pour s'intégrer à l'environnement. L'avion qu'il créé dans une cour de ferme en témoigne. La peinture de 30M2 qui occupera une salle du Centre d'Art Contemporain de Bruxelles en janvier prochain, sera de la même veine. Aujourd'hui domicilié à Mons, Philippe revient régulièrement se replonger dans le cercle familial. Bosquétia, l'histoire boraine, les démarches sociales de Defuisseaux, l'énergie développée au siècle passé pour valoriser les artistes framerisois...Tous ces sujets l'inspirent et guident finalement une oeuvre qu'il voudrait dans toutes les mains " Je tiens à ce que mon travail reste populaire et accessible à tous". «Dernièrement était proclamés aux Palais des Beaux Arts de Bruxelles les lauréats des prix décernés par la "Jeune Peinture Belge" Et parmis les trois lauréats 1994, le jeune artiste Montois, Philippe Bouillon s'est vu attribuer le Prix E. Crowez, d'un montant de 200.000 francs. rappelons que, depuis plus de quarante ans, l'a.s.b.l "La Jeune Peinure belge" se veut un des moteurs de la création artistique contemporaine en Belgique. L'exposition organisée, maintenant tous les deux ans, est souvent, et heureusement, pour les lauréats ou les artistes sélectionnés le départ d'une promotion nationale ou internationale. Citons-en quelques-uns en Communauté Française: Alechinsky et G. Collignon, premiers lauréats en 1950, Gustave Camus (1951), Roger Dudant (1953), Robert Michiels (1966), Félix Roulin, Marc Feulien (1978)... Notre jeune lauréat - né à Frameries en 1966 - a poursuivi sa formation artistique à l'Ecole supérieure des Arts plastiques et visuels, à Mons, d'où il a été diplômé de l'Atelier d'Image dans le milieu - Art monumental, en juin 1992. Ayant sélectionné 15 artistes - sur plus de 300 dossiers déposés - le jury leur a donné la latitude d'une exposition personnelle dans des espaces définis au Palais des Beaux-Arts. Philippe Bouillon nous montre des images peintes et des dessins aquarellés qui racontent des histoires d'animaux et d'hommes, avec tout l'amour qu'il porte aux uns et aux autres, la spontanéité, la naïveté et surout le bonheur ludique de raconter sans quelques gravité. «..Au-delà des chiffres, d'autres succès témoignent du rayonnement de l'ESAPV : Nous sommes assez fiers de constater que beaucoup de nos étudiants réussissent leur entrée sur le marché de l'emploi, se réjouit André Bougard. En aménagement d'intérieur, aucun de nos diplômés n'émarge actuellement au chômage. Certains autres bénéficient rapidement d'une belle reconnaissance : Philippe Bouillon a ainsi obtenu récemment le prix de la Jeune Peinture belge.... à propos de l'exposition "Quelques Histoires" au Palais des Beaux-Arts de Charleroi, 1993 |
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